Le RP spécial
Petit rappel :
> Dans ce RP, nulle limite de joueur est imposée, il n'y a pas non plus d'obligations ni objectifs à atteindre.
> On peut faire évoluer son personnage comme bon nous semble, même pour des choses insignifiantes : vous avez décidé de vivre seul en appartement, dans ce Rp vous vous renseignez donc auprès des agences immobilières (par exemple).
> Le double post est cependant interdit mais le recours aux doubles compte est accepté.
> Lorsqu'un joueur poste, il n'est pas obligé de faire immédiatement coïncider son histoire avec celle des autres sauf s'ils veulent se rencontrer (rencontre amicale, fight et j'en passe).
> Pas de tour de post : si le joueur 1 poste et qu'un joueur 2 suit le joueur 1 peut à nouveau poster après le joueur 2.
Enjoy !
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Le soleil n'était pas encore à son zénith mais la journée s'annonçait déjà chaude. Un vent frais balayait mes cheveux, me donnant une coiffure que l'on ne pouvait plus réellement qualifier de coiffure d'ailleurs... Je croisa le livreur de journaux qui s'aplatit directement contre le mur et baissa les yeux. Je vous arrête, ce qui le terrifiait n'était pas ma coiffure (quoique...) mais les éclairs que laissait mes yeux noisettes.
+ Si j'attrape cet enf*** ! +
Et oui la journée s'annonçait moins belle que prévu pour une personne en particulier... Le tout était de savoir qui même si j'avais ma petite idée sur la question. Enfaite, si on cherchait bien, la base même du problème c'était Dominico : n'était-ce pas lui qui disait qu'il était important qu'on aille en cours, que l'on maintienne une certaine couverture "officielle" hors de la mafia ?
Et bien voilà, quand je ne violais pas la vie privé de quelques personnes fort peu fréquentables, j'étais étudiante à mes heures perdues. Heures vraiment perdues.
Actuellement, j'étais scolarisée dans une école dite "internationale" à Paris. Il ne faut pas se voiler, cette école regroupe les pauvres étudiants sans racines (pour ne pas dire perdus) dont leurs parents les promènent un peu partout... Des gens comme moi, à l'exception près qu'il ne fréquentait pas le monde souterrain à la nuit tombée.
Tout ça pour dire que de temps à autre j'allais à l'école et je fréquentais des gens avec qui je ne m'entendais pas particulièrement. Des gens pas finis. Des crétins. Et en parlant d'imbécile, il y en avait un qui avait poussé le bouchon un peu loin avec ses commentaires sur facebook. Ah facebook ! Mais ça, c'est une autre histoire...
Je m'engagea dans la station de métro et me mis à taper du pied en attendant la trame : ça allait barder !